Date de création : 31.08.2011
Dernière mise à jour :
07.07.2014
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Les extraterrestres vivent silencieusement parmi nous
Certains scientifiques et fonctionnaires ont déclaré qu’ils croient que des formes de vie extraterrestres existent parmi nous et que nous pouvons, sans le savoir, être en contact avec elles à un niveau quotidien ou qu’elles peuvent même être à l’intérieur de nos corps.
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1/ L’Ex Ministre Canadien de la Défense
Début Janvier, l’ancien ministre Canadien de la défense Paul Hellyer a déclaré à Russia Today qu’il croit que les Aliens sont parmi nous: « J’ai la confirmation de plusieurs sources qu’il y a quelques 80 espèces, et certaines qui nous ressemblent comme deux gouttes d’eau et elles peuvent marcher dans la rue et vous ne pourriez pas faire la différence. »
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2/ Paul Davies, Arizona State University
Le physicien primé Paul Davies a déclaré vie extraterrestre peut être « juste sous notre nez, ou même dans le nez. »
Il a déclaré à CBS News que les microbes provenant de l’espace intersidéral peuvent être sur Terre ou même dans nos corps. Il a aussi dit que la vie a pu se développer de multiples fois, pas juste une, et que cette vie à différents moments dans le temps peut être extraterrestre.
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3/ Le Dr. Robert Trundle, Northern Kentucky University
Le Dr Robert Trundle, un professeur de philosophie à la Northern Kentucky University, a déclaré au Cincinnati Post en 2004 qu’il a été « évité » pour ses points de vue sur les extraterrestres. Il a écrit un livre intitulé “Is ET Here? No Politically, but Yes Scientifically and Theologically.” (Est-ce qu’ET est là? Pas politiquement, mais Oui scientifiquement et théologiquement.)
Il a déclaré au journal: « Est-ce qu’ET existe d’une perspective politique? Non, parce que le gouvernement est terrifié à l’idée du choc culturel et de la panique du public. Que le gouvernement admette l’existence des extraterrestres seraient ici admettre qu’il ne peut pas nous protéger d’eux. »
« Scientifiquement, je soutiens que des témoignages valides de milliers de gens ne peuvent pas simplement être rejetés. Je parle des pilotes qui se sont présentés, même si cela signifiait subir des examens psychiatriques en tant que résultat direct ».
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4/ Le chef de l’Institut de Recherche Spatiale à l’Académie Bulgare des Sciences
Latchezar Filipov, directeur de l’Institut de Recherche Spatiale à l’Académie Bulgare des Sciences, a raconté au Toronto Star en 2009: « Nous avons envoyé (aux aliens) 30 questions sur les problèmes mondiaux, … et maintenant avons quelques réponses. »
Il n’a pas dit comment les requêtes ont été envoyées, mais il a dit les réponses sont venues sous la forme de pictogrammes dans les crop circles.
Les étrangers auraient dit à Filipov et son équipe que les tentatives (sous le nom de SETI) de détecter des communications extraterrestres ont échouées en raison de « champs magnétiques. » Filipov a aussi dit, d’après The Telegraph : « Les aliens sont actuellement tout autour de nous, et nous regardent tout le temps. »
Filipov a travaillé pour une mission à bord de la station spatiale MIR et a occupé des postes de haut niveau en astrophysique.
Source : Epoch Times
Dans le Bronx à New York, chaque vendredi soir pour le service du Shabat, des juifs du quartier se rendent à leur synagogue. Petit détail, la synagogue se trouve au sein même d’une mosquée.
La communauté musulmane a mis à la disposition des juifs une partie de la mosquée qu’ils s’utilisent comme synagogue.
Cette entraide est le fruit d’une relation ancienne de plusieurs années. La communauté juive, qui possédait une synagogue sur Virginia Avenue, collectait des vêtements pour les familles nécessiteuses dont une partie allait au Cheikh Moussa Drammeh et sa communauté musulmane. Depuis, les liens d’amitiés entre les deux lieux de cultes se sont créés.
En 2003, suite à une baisse démographique de juifs, les cadres de la communauté ont été forcées de vendre la synagogue. Selon le « Jewish Community Relation Chair », il y avait jadis 630 000 juifs dans le Bronx et en 2002 ce chiffre avait chuté à 45100. Suite à cela, un local a été loué jusqu’en 2007. Un espace qu’ils ont dû abandonner par manque d’argent. La communauté est composée en grande partie de personnes âgées dont les revenus sont très limités.
Dès 2006, le Cheikh Moussa Drammeh, au courant de cette situation, s’est immédiatement porté volontaire pour accueillir la communauté juive au centre islamique, gratuitement. Selon le Cheikh, c’était à son tour d’aider le peuple qui l’avait aidé autrefois, lui et sa communauté.
Au départ, les fidèles juifs tenaient les services du shabbat dans le bureau de l’imam. Après six mois, la pièce est devenue exiguë, de plus en plus de personnes assistaient aux offices bien qu’elles aient eu lieu dans une mosquée. L’imam leur proposa une salle, suffisamment grande pour que les juifs l’aménagent convenablement pour leur culte.
La cohabitation dure depuis 2007. Une fidèle juive raconte à Tabletmag qu’elle apprécie le centre accueillant la synagogue « Ce sont des gens très doux » dit-elle.
Source : Metatv
Scène surréaliste qui s'est déroulée en direct sur le livestream en fin d'après-midi, lors de la manifestation pour l'IVG en Espagne
Nous est régulièrement reproché en commentaire d'avoir diffusé cette vidéo.
Sachez que cette scène a été diffusée en direct sur notre livestream et que nous l'avons diffusé pour éviter quelle ressorte sans traitement sonore, ce qui se serait immanquablement passé si nous n'avions pas pris les devants.
Plus performantes et moins coûteuses que leurs grandes sœurs terrestres, les éoliennes volantes représentent l’avenir de l’énergie. Hissées à l’aide d’un câble à des altitudes oscillant entre 400 et 10.000 m, ces prototypes peuvent générer des quantités d’électricité phénoménales. Développée à grande échelle, cette technologie pourrait satisfaire l’intégralité des besoins énergétiques de la planète. L’exploitation commerciale est prévue dans moins de 10 ans.
Performances décuplées
Dans quelques années, des essaims de moutons blancs voleront au-dessus de nos têtes. Ni nuages, ni bovidés évidemment. Mais des éoliennes aériennes aux performances très prometteuses. Alors que leurs grandes sœurs terrestres tournent seulement 20% du temps à la faveur de vents d’intensité modérée, ces éoliennes volantes flirtent avec des vents beaucoup plus constants. Et surtout beaucoup plus puissants. Les plus performantes pourraient produire jusqu’à 10 mégawatts/h. A 1.000 m d’altitude, les éoliennes aériennes produiraient 5 fois plus d’énergie qu’au sol.
A 10.000 m, c’est la cour des grands vents soufflant à une puissance phénoménale. On les appelle « courant-jets », ils balaient les hauteurs du globe à des vitesses allant de 100 à 350 km/h. Selon une étude américaine de septembre 2012, ces vents de haute altitude représentent une énergie estimée à 1.800 térawatts. Si 1% de ce potentiel était exploité par ces futurs volatiles éoliens, la totalité des besoins énergétiques de la planète seraient couverts. Des performances qui pourraient bien accélérer le passage à une économie verte nécessaire pour lutter contre le changement climatique.
Si les éoliennes volantes captaient 1% des vents de haute altitude, la totalité des besoins énergétiques de la planète seraient satisfaits.
4 prototypes sortent du lot
Parmi les prototypes des 20 entreprises à s’être lancées à partir de 2006 dans la course à l’éolienne volante, trois ressortent du lot : l’éolienne cerf-volant offshore constituée d’une voile unique de type kitesurf développée par l’Allemand Skysails qui grimpe jusqu’à 800 m ; les structures à hélices des Australiens Sky Windpower et leurs variantes californiennes de Makani Power et Joby Energy se hissant à 400 voire 600 m ; et la grappe de voiles de l’Italien Kite Gen qui culminerait à 10.000 m. Techniquement, l’éolienne est reliée au plancher des vaches ou à un pilonne marin par un câble. Là-haut, le vent entraîne l’engin dans un mouvement giratoire -pouvant atteindre 400 km/h- qui génère de l’énergie.
Sur les modèles à hélices cette énergie est transformée en électricité par des rotors situés sur l’éolienne elle-même et transmise ensuite au sol par le câble. C’est l’inverse sur les prototypes voiles et cerf-volant : l’énergie est transférée par le câble jusqu’à un générateur situé au sol qui la transforme en électricité. Un quatrième prototype tire également son épingle du jeu : le ballon circulaire à hélium de l’Américain Altaeros Energies, qui lui flottera à 600 m de façon statique. L’électricité est produite à la faveur d’une hélice placée en son centre et transmise au sol de la même façon par un câble.
Avantages multiples
Outre des rendements décuplés, une maintenance aisée et l’absence de nuisances sonores, les éoliennes volantes ont l’avantage de produire une électricité deux fois moins coûteuse : 0,03 euros le kilowattheure contre le 0,06 pour les éoliennes terrestres. Rétractables, ces volatiles ne causeraient en outre pas de pollution visuelle continue. Plus facilement installables, ils permettraient par ailleurs d’alimenter des régions isolées ainsi que les pays en développement affichant d’importants besoins en énergie.
Commercialisation dès 2020
En cas de vent trop faible ou trop fort, l’engin est automatiquement ramené au sol. Avant de passer à l’étape industrielle, reste à résoudre certaines questions de sécurité en suspens. Comme la solidité du câble ou le risque de collision avec un aéronef ou un oiseau. Les plus optimistes pensent pouvoir commercialiser leurs premiers produits à partir de 2015. Le gros des troupes devrait arriver aux environs de 2020.
Nicolas Blain
SOURCE : http://www.courantpositif.fr
La vidéo est composée des images, filmées avec des caméras qui ont été installées sur le costume Baumgartner. Elle montre le saut lui-même depuis la capsule, montée à une hauteur de 39 000 m, le vol et l'atterrissage du parachutiste.
Baumgartner a fait le saut depuis la stratosphère le 14 octobre 2012. Le parachutiste a passé environ 10 minutes en chute libre, la vitesse maximale de sa chute était 1357,6 kilomètres par heure. Baumgartner a été la première personne qui a réussi à briser le mur du son sans moyen de transport.
Un équipe de chercheurs de l'université de Virginia Tech a mis au point une batterie fonctionnant avec du sucre et possédant une densité énergétique inégalée, un développement inédit qui pourrait remplacer les batteries conventionnelles par d'autres moins chères, rechargeables, et biodégradables.
Les résultats fournis par Y.H. Percival Zhang, professeur agrégé d'ingénierie des systèmes biologiques au Collège d'agriculture et des sciences de la vie ont été publiés dans la revue Nature Communications.
La conception de batteries alimentées avec du saccharose n'est pas nouvelle. Toutefois, le professeur a affirmé que son prototype avait une densité énergétique beaucoup plus élevée, ce qui lui permettait de fonctionner plus longtemps avant son réapprovisionnement.
"Dans trois ans au plus tôt, cette nouvelle batterie pourrait trouver sa place dans certains téléphones, tablettes, consoles et autres appareils électroniques qui nécessitent toujours plus d'électricité dans notre monde énergivore", a précisé Zhang. "Le sucre reste un parfait élément naturel de stockage de l'énergie (...) Il est donc logique que nous essayons d'exploiter cette énergie 'naturelle' d'une manière respectueuse de l'environnement pour produire une batterie."
Selon l'Agence de protection de l'environnement, des milliards de piles 'toxiques' sont jetées chaque année aux USA, constituant une menace pour l'environnement et la santé humaine. Cette découverte pourrait contribuer à éviter l'entassement des centaines de milliers de tonnes de batteries dans les décharges.
Le Pr. Zhang a déjà utilisé dans ses précédents travaux une série d'enzymes pour obtenir des combinaisons qui n'existent pas dans la nature. Il a ainsi travaillé sur la création d'amidon à partir de plantes non alimentaires et développé une nouvelle façon d'extraire de l'hydrogène d'une manière plus économique et écologique à destination des véhicules.
Avec ce nouveau développement, l'équipe a ouvert la chemin à une enzyme de synthèse qui supprime toutes les dépenses potentielles induites pour produire de l'électricité dans une pile à combustible enzymatique. Ensuite, le biocatalyseur (à enzyme) à faible coût est utilisé comme catalyseur à la place du platine, un composant coûteux généralement utilisé dans les piles à combustibles conventionnelles.
Comme toutes les piles à combustible, la pile 'sucrée' associe carburant - dans ce cas, la maltodextrine, un polysaccharide fabriqué à partir de l'hydrolyse partielle de l'amidon - avec de l'air pour produire de l'électricité et de l'eau comme principaux sous-produits.
"Nous libérons lentement tous les électrons stockés dans la solution sucrée, étape par étape à l'aide d'une cascade enzymatique," a ajouté le Pr. Zhang.
En synthétisant 13 enzymes puis en les combinant à une solution de maltodextrine, ils ont réussi à produire du courant. Avec 24 électrons pour chaque unité de glucose, la pile à combustible est en mesure de stocker jusqu’à 10 fois plus d’énergie qu’une pile au lithium.
Différent de la pile à combustible d'hydrogène et de la pile à combustible à méthanol direct, la solution à base de sucre n'est ni explosive, ni inflammable et présente une densité de stockage d'énergie bien supérieure. De plus, les enzymes et les combustibles utilisés pour construire le dispositif sont biodégradables. La batterie est également rechargeable ! Le sucre peut être ajouté un peu comme lorsque l'on rempli une cartouche d'encre.
Inauguration de la rubrique des Cons !
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Avec aujourd'hui :
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Marseille (13) : Farid Ghilas projette un chat contre un immeuble et diffuse les vidéos sur Facebook (Vidéo très choquante)
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Un jeune homme qui se fait appeler sur Facebook « Farid de la Morlette » s’amuse à jeter un chat contre un immeuble… sous les rires de ses amis qui filment la scène…
Il semblerait habiter Résidence la Maurlette dans le XVème arrondissement de Marseille.
Pour ceux qui ne veulent pas regarder la vidéo car vous aimez les animaux : Le Chat a été Massacré.
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Signer la pétition contre la torture de ce chat(plus que 300 signatures)
La NSA aurait été contacté par des Extraterrestres selon des documents de la NSA

La National Security Agency a publié un rapport qui confirme qu’il y a eu un contact avec les aliens. La NSA stipule qu’ils ont reçu 30 messages (Télécharger le PDF) depuis l’espace. La NSA déclare qu’elle n’a pas pu décrypter tous les messages qui ont été envoyés mais elle a été capable d’en déchiffrer quelques uns. Certains des messages sont des formules mathématiques alors que d’autres contiennent des types de codes différents.
Via Cyber War Zone et Art Bell
[Addendum : Avec un peu de recherche on découvre que les documents 'récents' datent de 2011 mais ils sont bien réels.]
Voir : http://www.nsa.gov/public_info/_files/ufo/key_to_et_messages.pdf