Date de création : 31.08.2011
Dernière mise à jour :
07.07.2014
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Une histoire de quartier.
Deux inventeurs brésiliens, Nilson Barbosa et Cleriston Leal, affirment avoir inventé un dispositif d'énergie libre et vendent maintenant ce dispositif au public. Le dispositif est appelé la Terre Electron Captor Generator, ou "GERARDOR CAPTOR DE ELÉTRONS DA TERRA" en portugais.
Il y a un hic, ils proposent actuellement l'appareil qu'à des personnes qui vivent dans la ville de Imperatriz. Cependant, ils travaillent sur une licence de production pour que plusieurs entreprises de fabrication puissent permettre la vente en ligne. Leur site dit qu'ils vont mettre à jour leur page avec des informations de distribution dès qu'il sera disponible. La rumeur veut que les distributeurs mondiaux soient mis en ligne en Janvier 2014.
Le dispositif nécessite une petite quantité de puissance d'entrée initiale pour démarrer une sorte de capteur de roulement, qui produit alors de la puissance sur-unité. Le dispositif semble petit, ce qui signifie qu'il pourrait être utilisé pour l'alimentation de véhicules, ainsi que l'électricité résidentielle. Ils annoncent qu'il peut être utilisé dans les deux, et peut aussi faire office de source d'alimentation industrielle. Le site affirme que la puissance d'entrée nécessaire pour le faire fonctionner est d'environ 2% de sa puissance de sortie.
Ils ont plusieurs tailles du générateur. Le plus petit prototype qu'ils ont construit est capable de générer 12,1 kW de puissance, avec une charge de 6000 watts, en utilisant seulement 21 watts d'énergie d'entrée. L'unité de prototype pèse 1,5 kg de mesure 20x30x15 cm. La maison moyenne a besoin d'environ 15 kW de puissance.
Le produit semble légitime. Si c'est vrai, il prendra la place de Dark Wallet en seconde création la plus importante dans l'histoire de l'homme, derrière Bitcoin bien sûr. Le pétro-dollar va sûrement venir toquer à la porte de cette invention.
J'ai posté quelques vidéos du produit ci-dessous. L'un des commentaires sur l'un des flux vidéo dit que le système coûte 12000. Je ne sais pas si ce nombre est exact, et si il l'est, dans quelle monnaie il est libellé. Si c'est en reais, ce qui ferait environ $ 5500 US Dollars. J'ai vu une autre personne en disant qu'il fallait 1.000 Reals dans un fil de discussion.
Peswiki a publié un article sur eux ici.
NOTE : Cette société actuellement est à un stade vulnérable. Ils ne sont pas équipés pour gérer le barrage de demandes de renseignements qu'ils ont reçu à cause de notre reportage. (Mise à jour le 12 novembre :) La société est prête à concéder sous licence les brevets.
La compagnie d'électricité locale a confisqué les deux premiers appareils qu'ils avaient installés dans les maisons faute de certifications appropriées équivalentes-UL. Les ventes sont suspendues jusqu'à ce qu'ils obtiennent l'avis d'experts, qui est déjà disponible.
Ils ont demandé si je pouvais enlever cette page, mais à la place, je poste cet avis. Donnez-leur une certaine marge de manœuvre. Ils ne sont pas bilingues. Pour l'instant, ils ont assez de puissance-cérébrale et d'énergie avec leurs homologues brésiliens.
Retour en Septembre, un journal brésilien a indiqué que les deux inventeurs ont été arrêtés pour avoir prétendument fait du recel. Apparemment, ils ont eu tout leur matériel confisqué pendant le raid. Du mieux que je puisse en juger, le rapport indique qu'ils ont été trouvés en possession de deux compteurs d'énergie appartenant à une coopérative d'énergie brésilienne.
Les deux ont dit qu'ils ont reçu les compteurs d'énergie d'un ingénieur de la coopérative. Leurs avocats ont déclaré qu'ils allaient déposer une requête corpus delicti, ce qui signifie qu'ils ne croient pas qu'un crime ait été commis parce que les compteurs ont été donnés libres d'utilisation, et l'ingénieur qui leur a donné les compteurs a même publié un rapport sur Internet à ce sujet. Les deux ont été libérés sous caution. La rumeur dit "que tout va bien maintenant." De l'avis Peswiki, il semble qu'ils sont encore en activité.

Dimanche, un habitant de Moscou a fait une étrange observation : dans le ciel, il n'y avait pas un mais deux soleils et un troisième plus faible. Ceci est dû à un phénomène optique nommé parhélie qui fait apparaitre des répliques de l'astre.
Quoi de plus beau que de se lever le matin et d'observer le soleil monter dans le ciel ? Progressivement, la lumière fait naitre le jour, chassant les dernières obscurités de la nuit. Une vue qui a de quoi réchauffer le coeur de tous les lève-tôt. Dimanche matin, certains ont toutefois été plus chanceux que d'autres ! A Moscou en Russie, les habitants n'ont pas vu apparaitre un soleil unique mais trois d'un coup alignés.
Plusieurs vidéos ont été postées sur Youtube par des habitants stupéfaits par l'apparition. Plutôt impressionnante à voir, elle est due à un phénomène optique appelé "parhélie" ("sun dog" en anglais). Il provoque l'apparition de deux répliques de l'image du soleil, placées horizontalement de chaque côté de celui-ci. Sur les vidéos, on voit en effet que le soleil central (le vrai) apparait bien plus brillant et circulaire que les autres, plus pâles et comme allongés.
Des cristaux de glace déviant la lumière
Le parhélie est lié au phénomène du halo solaire et se produit lorsque l'astre est bas sur l'horizon et que l'atmosphère est chargée de cristaux de glace, comme c'était précisément le cas dimanche à Moscou, où les températures sont descendues en-dessous des -20°C. En chutant des nuages de haute altitude, les cristaux s'orientent parfois dans le même sens, ce qui a pour effet de former une sorte de réseau de prismes.
Exposé aux rayons du Soleil, ce réseau dévie la lumière qui le traverse avec un angle minimum de 22°, créant une réplique de l'astre. Plus le Soleil est haut dans le ciel, plus les parhélies sont éloignés du halo central. La lumière de ces derniers peut également être plus ou moins brillantes, rendant les répliques plus ou moins visibles.
Un phénomène pas si rare
A Moscou, le Soleil était plutôt bas, les répliques sont donc apparues assez proches, mais l'une était plus visible que l'autre. Sur les images, on peut même bien observer le petit halo autour du Soleil et de ses copies. Le phénomène de parhélie peut être observé n'importe où dans le monde, et durant toutes les saisons. Toutefois, il est plus fréquent dans les régions polaires où les nuages bas sont souvent chargés de particules de glace.
Bien connu des scientifiques, le phénomène est observé et décrit depuis l'Antiquité. Néanmoins, il reste très surprenant, en particulier lorsqu'il est aussi visible qu'il l'a été à Moscou. Généralement, il dure de quelques secondes à plusieurs dizaines de minutes.
En Chine, ce sont trois soleils qui sont apparus
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| Crédo Mutwa & David Icke |
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| Youssouf Tata Cissé |
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| Amadou Empate Ba |
En cette nouvelle ère, ils incombent aux Africains et aux chercheurs du monde entier de questionner les Initiés africains sur ce pan de l'histoire tant occulté.
L'histoire de l'humanité est encore bien plus "ouf" que certains films de science fiction.
Il nous faut réécrire l'histoire du monde !
" Il y a deux histoires: l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète, où sont les véritables causes des événements." Honoré de Balzac.
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| Credo Mutwa montrant un reptilien |
En 2010, un ingénieur britannique a volontairement implanté un virus informatique dans une puce RFID placée sous la peau, démontrant alors la possibilité de corrompre les fonctionnalités d’un tel dispositif.

Le Dr Mark Gasson prétend être le premier homme touché par un virus informatique. Dans le cadre de ses recherches sur les implants électroniques, l’universitaire britannique de Reading s’est en effet lui-même inoculé un virus informatique : il a contaminé la puce sous-cutanée qu’il s’était greffée dans la main gauche un an auparavant. Cette opération de piratage, tout à fait bénigne sur le plan sanitaire, pose d’importantes questions de sécurité concernant l’usage, notamment à des fins médicales, des puces de radio-identification (appelés communément RFID pour Radio Frequency IDentification).
La puce RFID du Dr Mark Gasson est un peu plus sophistiquée que celle que l’on trouve sur les étiquettes dans les magasins, mais son principe de fonctionnement est le même. Elle contient une antenne qui lui permet d’envoyer les informations qu’elle contient et d’en recevoir (généralement des données d’identification accompagnées de quelques données complémentaires). La puce de l’universitaire lui permettait par exemple, outre son utilisation dans ses recherches, de rentrer dans son bâtiment à l’université et de se servir de son téléphone portable.


«Nous avions montré que ces technologies implantables s’étaient développés à un point où elles étaient capables de partager, stocker et manipuler des données», explique le chercheur. Rien d’étonnant alors à ce que ces «mini-ordinateurs» puissent être touchés par des virus et capables de les transmettre. En effet, non seulement la puce a été infectée, mais elle a effectivement corrompu le système central avec lequel elle communiquait. Si celui-ci n’était pas isolé, il aurait alors contaminé toutes les puces qui seraient entrées en contact avec lui et l’infection se serait propagée. «Cela donne un aperçu des problèmes que nous pourrions rencontrer à l’avenir», explique le Dr Grasson. L’objectif de l’expérience, dont les résultats complets seront présentés en Australie la semaine prochaine à l’occasion de l’International Symposium on Technology and Society, est justement de mettre en garde contre les dangers potentiels de ces puces afin qu’elles puissent être utilisées en toute sécurité dans le futur.
En 2006 des chercheurs néerlandais avaient déjà créé des puces capables de perturber les systèmes de lecture et d’insérer des informations erronées, voire des lignes de codes malveillantes, dans des bases de données. De son côté le ministère de l’intérieur américain déconseillait la même année l’identification humaine par RFID, jugeant qu’elle «aurait plutôt tendance à accroître les risques en matière de sécurité et de protection des données personnelles».
Cette fois-ci, c’est une véritable menace virale (au sens informatique du terme) qui a été mise en évidence, ainsi que la capacité que pourrait avoir une personne mal intentionnée de perturber le fonctionnement d’un implant sous-cutanée. «J’ai ressenti cette expérience comme une surprenante violation de mon intimité, confie Mark Grasson. L’implant fait partie de moi et pourtant j’étais dans l’incapacité totale de contrôler la situation.»
PUCE RFID. L’utilisation des puces électroniques à radio-identification (RFID) n’est pas nouvelle. Ces puces, pas plus grandes qu’un grain de riz, sont généralement utilisées sur les animaux: elles ont notamment remplacé le « tatouage » des chiens et des chats.
Plus récemment, certaines sociétés ont proposé à leurs clients l’implantation de ces puces sous-cutanées en guise de porte-monnaie électronique ou de badge d’accès. C’est le cas de l’ingénieur anglais dont la puce située sur le dos de sa main gauche, entre son pouce et son index, lui permet de s’identifier à l’entrée de son université ou bien de limiter l’utilisation de son téléphone portable à lui seul. Ces puces d’une capacité d’environ 512 ko sont conçues pour accueillir tous types de données informatiques; Marc Gosson a décidé d’y ajouter des données infectées.
ALERTER. L’utilisation d’anti-virus informatiques pour le corps humain n’est pas encore nécessaire, la contamination d’une telle puce n’ayant pour le moment aucun impact sur son porteur. Ce que l’ingénieur anglais a voulu montrer par cette expérience, c’est la possibilité de corrompre les données ou les fonctionnalités de ces dispositifs. Évidemment, mettre hors-service un système permettant d’entrer dans un bâtiment n’a pas grande incidence, mais l’utilisation de ces puces se démocratisant, les conséquences dans le futur pourraient être tout autre. Il suffit par exemple d’imaginer qu’un virus informatique puisse modifier le fonctionnement d’un peacemaker ou de n’importe quel implant équipé de ce genre de technologies, le scénario deviendrait alors plus inquiétant.
Bref, le premier décès humain imputable à un programme informatique n’est pas pour demain, mais l’expérience de Mark Gosson met en évidence un aspect du bio-hacking auquel il faudra être attentif dans le futur.
Source : Le Figaro / Sciences et Avenir1
La liberté d'expression est le gage d'une liberté de vie saine , la soumission est la source de l'esclavage de la perte d'identité et de valeurs fondamentales d'un Pays qui est toujours unique.
Si cette liberté est retirée à un seul citoyen par un dictat d'état, et que les autres citoyen acceptent cet acte délictueux, il cautionnent et acceptent de fait la dictature étatique.
Date of video: January 2014
Location of discovery: Mars
Google Map Coordinates: 45°56'58.08"N 23°32'32.84"E
La structure est massive Le côté droit de la structure est de 160 mètres de long. La paroi interne de la droite est de 95 mètres de long. Ce mur à l'extrême droite est de 25 mètres d'épaisseur, mesure avec la règle de google map. L'intérieur de la structure est d'une couleur différente de celle de l'extérieur de la structure. Donc, nous savons que l'intérieur est en dessous de la surface ... pas au-dessus. Une entrée d'une base souterraine, ou une ancienne structure d'une espèce éteinte depuis longtemps? Ou tout simplement une structure de l'espèce de courant qui occupe l'intérieur de Mars?